Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-président du Front National
Le Front National l’a toujours dit : le grand patronat est le premier demandeur d’une immigration massive qui tire à la baisse sur les salaires par la mise en concurrence des salariés entre eux.
Cette réalité sociale, certains se refusent encore obstinément à la regarder en face.
Pourtant, les propos du président d’Airbus, Thomas Enders, dans une tribune publiée ce lundi dans le Süddeutsche Zeitung, ne souffrent aucune ambigüité. Ce dernier a en effet expressément demandé à ce que l’on « déréglemente » le marché du travail afin de pouvoir profiter de la manne migratoire à portée de main. Les demandes de Thomas Enders se font très précises : contrats courts ultra-précaires d’un nouveau type, « mini jobs » et exceptions au salaire minimum.
Une telle déréglementation pousserait inévitablement de nombreux travailleurs faiblement qualifiés vers le chômage, remplacés par des migrants moins bien rémunérés et aux conditions d’embauche beaucoup plus souples.
Or c’est très précisément ce qui guette l’ensemble des pays qui accueillent massivement des migrants. Cette fausse générosité de quelques uns, avec l’argent du contribuable, risque de se traduire par l’appauvrissement de tous les autres.
En France, où le chômage de masse s’ajoute déjà à l’immigration massive, il convient plus que jamais de s’opposer à ces tentatives opportunistes et cyniques de profiter de la misère humaine.
Le refus de toute forme de submersion migratoire est donc un impératif éminemment social, aussi bien que sécuritaire ou sociétal.
http://www.frontnational.com/2015/10/crise-migratoire-le-grand-patronat-a-laffut/
Cette réalité sociale, certains se refusent encore obstinément à la regarder en face.
Pourtant, les propos du président d’Airbus, Thomas Enders, dans une tribune publiée ce lundi dans le Süddeutsche Zeitung, ne souffrent aucune ambigüité. Ce dernier a en effet expressément demandé à ce que l’on « déréglemente » le marché du travail afin de pouvoir profiter de la manne migratoire à portée de main. Les demandes de Thomas Enders se font très précises : contrats courts ultra-précaires d’un nouveau type, « mini jobs » et exceptions au salaire minimum.
Une telle déréglementation pousserait inévitablement de nombreux travailleurs faiblement qualifiés vers le chômage, remplacés par des migrants moins bien rémunérés et aux conditions d’embauche beaucoup plus souples.
Or c’est très précisément ce qui guette l’ensemble des pays qui accueillent massivement des migrants. Cette fausse générosité de quelques uns, avec l’argent du contribuable, risque de se traduire par l’appauvrissement de tous les autres.
En France, où le chômage de masse s’ajoute déjà à l’immigration massive, il convient plus que jamais de s’opposer à ces tentatives opportunistes et cyniques de profiter de la misère humaine.
Le refus de toute forme de submersion migratoire est donc un impératif éminemment social, aussi bien que sécuritaire ou sociétal.
http://www.frontnational.com/2015/10/crise-migratoire-le-grand-patronat-a-laffut/
¡Caciques al GULAG!
Proletarier aller Länder vereinigt euch!
¡Reciprocidad! ¡Repatriación! ¡Revolución!