Tuesday, 11 September 2012

Persiflage Prolétaire d'Anders Breivick




Multiculturalisme, terrorisme et religiosité, comme manifestations de l'escroquerie capitaliste. 

Entre les balivernes et fadaises de la canaille bourgeoise qui nous remporte a l'âge de la pierre, assigner la responsabilité du multiculturalisme 'éndophobe' au marxisme, c'est une stratégie routinière pour cacher la grave culpabilité de ceux qui ont organisée une véritable invasion immigrante pour détruire les salaires, l'organisation et les conditions de vie de la classe ouvrière, pas seulement européenne et américaine comme modèles de développement, mais aussi des pays émetteurs de travailleurs, démunis a travers l'émigration de son capital humain et son potentiel révolutionnaire. 

Pourtant, malgré tous les efforts des capitalistes et les malentendus de la droite et de la gauche, le marxisme, qui n'est pas une idéologie de gauche comme beaucoup le croient, mais se situe au delà et transcende les catégories politiques bourgeoises, est absolument opposé a l'immigration capitaliste et 'éndophobe', mécanisme briseur de la solidarité ouvrière, pulvérisateur des salaires et conditions du travail et facteur de division politique, ethnique, religieuse et social entre les travailleurs, favorisant le pouvoir des oligarchies. Dans ce sens, il faut rappeler que, la Première International (celle de Marx), avait été fondée pour combattre l'utilisation des ouvriers étrangers comme briseurs contre les grévistes des différent pays ou que le PCF des années vingt, confronté à une immigration de plus en plus importante, avait considéré brièvement la lutte contre elle mais, malheureusement, d'autres considérations s'étaient imposé.

'L'Eloge Littéraire d'Anders Breivick' de Richard Millet, comme les idées hébétés d'Anders Breivick lui même tournent, donc, autour des hallucinations bourgeoises et réactionnaires propres de ceux qui ne comprends pas le marxisme et acceptent, sans critique réel, les fondements d'un mode de production capitaliste obligé a l'importation des esclaves et l'expropriation des trésors publics, pour se reproduire. 

Penser, comme le fait M. Millet, que le christianisme est une rempart contre l'immigration et le multiculturalisme, c'est montrer la profondeur du rêve dans lequel est submergé la puéril vanité du lettré, car ce sont les églises chrétiennes en général, et notamment l'Eglise Catholique, les plus grandes négriers ou importateurs des travailleurs, avec ses grands réseaux, matériaux et humains, autour de la planète et sa politique capitaliste néolibéral et antimarxiste, soutenue par une doctrine missionnaire mondialiste et multiculturelle, de résignation et charité, d'explosion démographique et soumission au pouvoir hiérarchique et, très important aussi, une grande influence subliminaire sur les populations, capable de remplacer ou accalmir la résistance de classe de travailleurs. 

Le terrorisme de Breivick, comme l'immigration capitaliste éndophobe qui le sert d'alibi ou le vecteur chrétien que concrétise cette immigration ou comme l'homosexualité agressive du capitalisme libéral, n'est ni formellement parfait, ni a une dimension littéraire, mais montre, au contraire, le caractère lâche et rudimentaire essentiel de la terreur blanche: l'attaque facile et commode contre des cibles désarmés et dépourvus, contre des enfants. Au même temps, il fait preuve d'une jocrisse et une simplicité stupéfiantes, produits de la laideur d'un esprit dérangée, incapable d'entendre la cruelle réalité du capitalisme et dupé par la trompeuse réthorique d'une gauche antimarxiste au service du capital et qui a pour fonction la désorganisation de tout parti communiste (les partis communistes ont été infiltrés et détruits ou vidés de tout caractère révolutionnaire) et une droite à discours patriotique faux, mais nécessaire au théâtre politique du libéralisme.

Enfin, le marxisme n'a rien à voir avec cette conspiration migratoire et cette ingénierie social libéral, animé par l'obtention de survaleur et l'exploitation extreme du travail, par l'abus des millions des ouvriers sans droits et la tyrannie de la concurrence dans un marché du travail gorgé. Cette merde est une merde capitaliste. Cette merde est votre merde. Cette merde est à vous...!!!


¡Caciques al GULAG!
Workers of the World, Unite!
¡Reciprocidad! ¡Repatriación! ¡Revolución!